Mexique: Continuation des protestations pour les étudiantes disparus

unnamedHuit mois après(le 26 septembre 2014), les protestations au Mexique, en ce qui concerne la disparation des 43 étudiantes, après l’attaque de la police et des mafieux contre une manifestation des étudiantes à l’Ecole Preceptoriale Rurale “Normal de Aquiochinapa”, de la province Guerrero, continuent. Le mardi, les relatives des étudiantes et des organisations populaires ont réalisé une manifestation à la capitale du Mexique. Ils demandent l’élucidation complète du crime. La version du gouvernement de Enrique Pena Nieto qu’on a trouvé 4 fosses communes près de la ville Iguala, où les corps des étudiantes ont été carbonisés par les mafieux qu’ils les ont kidnappé, est très convenable pour le gouvernement, mais pas convaincante pour les manifestants.

En même temps, le processus d’identification de la pertinence n’a pas donné des résultats suffisants.

En cette manifestation dernière, les forces de répression ont attaqué contre les manifestants, après avoir interdit l’accès à la place centrale de la ville, Socalo.

Nous rappelons que le major d’ Iguala, Jose Luis Abarca, et son épouse, Maria de los Angeles Pinenta(la sœur des mafieux des drogues), sont été arrêtés, pour leur implication directe à l’attaque contre les étudiantes leur abduction et disparation. En plus de cela, on a réalisé 46 d’arrestations des personnes suspectées, 36 des policiers municipaux et 10 des citoyens, qui sont allégés d’être membres d’une groupe illégale des drogues, appelée “Guerreros Unidos”.

Le 7 juin, au Mexique, ou les élections parlementaires auront lieu, l’état illégal des délinquantes et l’état officiel bourgeois collaborent sous prétextes variés, afin de pétrifier le mouvement populaire, comme le démontrent des plusieurs cas de répression des luttes populaires.

Des victimes des attaques meurtrières sont tous ceux qui se luttent pour les droits populaires, tous ceux qui contestent le pouvoir du capital et empêchent les plans des monopoles. L’affaire des étudiantes disparus, des persécutions des ouvriers luttant et des membres du Partie Communiste du Mexique est démontrée par le Partie Communiste de Grèce au Parlement européen.