Valparaiso
Encore une fois, au Chili, des manifestations des étudiantes grandes avec la participation des employés ont été affrontées avec la répression policière(carabiniers). Le jeudi, des milliers d’étudiantes, d’élèves et d’employés sont descendus dans les rues du capital Santiago et des autres villes, demandant une éducation qualitative, gratuite et publique par le gouvernement social-démocratique de Michel Bachelet, afin qu’ il procédé à la reforme de l’éducation indispensable, un sujet pour lequel Bachelet s’ avait été engagée avant les élections.
A la ville Valparaiso, le midi du jeudi, après la manifestation massive des étudiantes, deux d’entre eux, Esequiel Borbaran( 18 ans) et Diego Gusman(25 ans), membre de la Jeunesse Communiste du Chili ont été tués par les balles qu’ils ont pris par un propriétaire d’une résidence(22 ans). Cet homme a tiré sur les des étudiantes par le balcon de sa résidence , parce qu’ils collaient des affiches, et ensuite il a été arrêté. La nuit de jeudi et la journée prochaine des manifestations massives ont été continuées pour honorer les deux étudiantes tués. Le gouvernement a déclaré qu’il va procéder )à une recherche attentive en ce qui concerne l’incident, mais il le déconnecte de l’ attitude de la police. Or, chaque fois que les étudiantes décident à descendre dans les rues, ils affrontent une ambiance de terrorisme policière.
Les manifestations au Chili ont été organisées de nouveau par la Confédération des Etudiantes Chiliens (FECH), la Coordination des Élèves de l’Education Secondaire et ils revendiquent l’abolition des lois de la dictature de Pinochet, qui continuent à être valides et à commercialiser le droit à l’éducation. Le gouvernement de Bachelet à la même attitude de sa service première(2006-2010), c’est-a-dire une administration social-démocratique, parle de nouveau d’ un changement du Constitution et promet qu’en 2016, on aura une ‘’Education Publique Gratuite’’et en même temps, maintient la valeur de l’éducation privée comme « pas spéculative », parce qu’il ne veut pas toucher les intérêts avec lesquels il s’est déjà allié.